Je ne compte pas les fois où, par pure morbidité, j'ai préféré voir quelque chose que je n'aimais pas pour le plaisir de ne pas l'aimer (un youtubeur débile, un extrait d'une émission télé pourrie) plutôt que de me concentrer sur quelque chose que j'aimais. Ça n'a l'air de rien, mais ça pollue. Toute minute que nous accordons à Ruquier et une minute que nous retirons à Tolstoï. C'est aussi ça, ne pas aimer ce qu'on aime ni vouloir ce qu'on veut.