Ce livre ne propose pas la énième vision doloriste du Tiers-monde, n'invite pas aux larmes suspectes, aux apitoiements dédaigneux. Il tente, au contraire, une approche positive du Sud.
Entre la suffisance et la masochisme, j'ai voulu tracer la voie d'un "européo-centrisme paradoxal" qui porte les Occidentaux vers le dehors sans les contraindre à se renier.