L’Indien ne fait pas l’amour avec sa femme, il procrée, perpétue l’ordre cosmique. Le plaisir, il le connaîtra en principe avec des courtisanes ou, s’il a de la chance, des étrangères synonymes de débauche. Autrefois, avoir une Européenne comme favorite constituait pour les maharajahs un signe de réussite au même titre que posséder une Rolls Royce. Les Indiens s’imaginent tous l’Occident comme le paradis de l’amour libre.