Là où le Zyklon B avait été versé, c'était vide. A l'emplacement des cristaux, il n'y avait personne... Les gens étaient blessés, souillés, sanglants, saignants des oreilles, du nez, ils s'étaient débattus, combattus... Certains gisaient sur le sol, à cause de la pression des autres, ils étaient totalement méconnaissables... Des enfants avaient le crâne fracassé, vomissures, saignements du nez, des oreilles... (p.46)