Le problème, c'est que la seule chose qui fait retomber la pression, c'est de se réfugier dans le porno. Là, il lâche prise, il oublie tout. La tension, la peur, la honte, la culpabilité, le sentiment de dépendance, son surpoids, ses échecs scolaires, tout. Et chaque fois que, enfin soulagé, il éteint son écran, il se promet que ce sera la dernière fois. (p 92)