L'alternative : « Faut-il considérer le corps comme le “substrat” de la “personne” ou le reconnaître comme une “chose” ? » s'inscrit dans l'espace du principe de discrétion. Ses deux branches, en effet, proposent deux conceptions de la différenciation : soit singulariser le corps comme substrat d'une personne singulière, soit en faire une chose, objet de propriété singulière d'une personne.