J’ai cette faiblesse de bien aimer leur plaire. Au fond, je pavane, je donne dans le désinvolte, le fin finaud… Pas difficile, la séduction, avec eux, ils sont tellement habitués à la ferraille, à l’angle aigu, à l’eau froide, au coup de gueule… Il ne faut pas beaucoup pour les faire fondre, pas besoin de guili-guili, suffît de leur parler comme on parle à tout le monde, et voilà que ça bascule dans le jamais vu, dans l’exceptionnel.