François IV ne s'inquiétait pas outre mesure de la percée du Front populiste ; il se concentrait sur ses chiffres et ses courbes qui ne s'infléchissaient point, et il pensait qu'à force de les regarder elles finiraient par bouger dans le bon sens, selon une recette d’auto-persuasion qui ressemblait aux incantations magiques des marabouts.