"il faut que tu intéresses aussi bien le petit peuple que Sacha Guitry ou Cocteau", lui répète Edith Piaf, amie des deux écrivains (...) Montand se jette dans la lecture avec la volonté farouche de s'élever, de comprendre. Il lit des poèmes, plus accessibles que les romans, dont la forme est proche de la chanson, s'entiche de Verlaine. Bientôt, il découvre Prévert. (p. 161)