Mon besoin d’écrire était si grand que je voyais l’histoire se rédiger d’elle-même. Mais jusqu’ici les mots arrivent très lentement. Même les meilleurs jours je n’ai pas réussi à faire plus d’une ou deux pages. Comme si j’étais en butte à une malédiction, à une défaillance de l’esprit, qui m’empêchent de me concentrer. [..]
Je n’avais encore jamais eu autant conscience du fossé qui sépare la pensée de l’écriture.