En ce foyer central de Bucarest, tout vous parle de la France ; les kiosques y vendent autant de journaux français que de feuilles roumaines, nos livres, aux couvertures encore fraîches, sont lus dès leur apparition, nos compatriotes, reconnaissables à ce que n’ayant pas pensé à acheter des bonnets de fourrure, ils portent le chapeau melon, sont immédiatement invités partout, nos parfums et nos articles de fantaisie parent chaque devanture, notre langue est parlée couramment.