Pour une bonne part, nous ne réagissons à ce que nous lisons qu'en fonction de ce que nous avons lu. Il en va de même pour la musique, en fonction de ce que nous avons entendu, en peinture, de ce que nous avons vu. Aussi faut-il distinguer dans l'appréciation d'une œuvre ce qui est dû à la sensibilité propre et ce qui est dû aux limites de la connaissance.