Elle finit par se dire, presque désespérée, que seule la beauté pourrait la guérir ; la splendeur tranquille des brumes au-dessus des vallées dont elle gardait le souvenir, les cimes des monts, les petites rangées de fleurs, qu’elle avait cultivées dans chacune de ses demeures ; la musique et la poésie, car elles aussi procurent une sorte de paix.