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À l'occasion des 60 ans des Éditions du Boréal, une discussion enrichissante vous attend avec les journalistes Frédérick Lavoie, Francine Pelletier et Alexandra Szacka. Face à l'emprise grandissante des géants du Web sur les médias canadiens, nos panélistes partagent leurs réflexions et explorent l'essence et les défis de leur métier de journalistes. Une occasion de sonder la dynamique entre journalisme, censure et liberté d'expression.
Avec Michel Désautels,
Frédérick Lavoie,
Francine Pelletier et
Alexandra Szacka.
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#slm2023
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— Jadis, notre communauté était ouverte au désert, accueillante envers les survivants qui souhaitaient trouver refuge dans nos murs. […]
— Puis, avec le passage du temps, nous nous sommes égoïstement refermés sur nous-mêmes. Certains en sont même venus à craindre les gens du désert, les traitant de rebelles…
— Cette fermeture était le résultat de la peur, une peur dont nous devons avoir honte.
(p. 359)
La première chose que j’ai vue, c’est la face pale du squelette au-dessus de nous. Pour la première fois, j’ai pris conscience que cette chose n’était pas qu’un sinistre rappel de la finitude humaine, mais que cela avait été une personne, un être humain d’avant la guerre.
(p. 191)
Les voix bourdonnent autour de sa tête comme des mouches. Elle voudrait les chasser. Se boucher les oreilles. Mais comment échapper à la voix des morts.
(Alire, p. 113)
Nous vivons dans un monde d’ombre, mais ça ne signifie pas qu’on doive s’abstenir de chercher la lumière.
(Alire, p.257)
Ema quitta la caverne .Fini le temps du mensonge .Les jours de l'ombre avaient pris fin .Dehors, la nuit pouvait bien tomber,au fond d'elle-même elle savait qu'était venu le temps de la lumière.
C’était l’heure calme où les honnêtes gens étaient rentrés chez eux pour souper et moins honnêtes pas encore sortis de leur repaire. Elle avait aimé cette heure ambigüe, jadis, quand le ciel hésite entre la nuit et le jour, quand l’âme s’agite entre la clarté et l’obscurité, quand l’errante peut croire que le moindre incident incident va faire basculer son existence…
(p. 161)
Je suis, je reste, une voyageuse en instance de partir,
(p. 232)
Les eaux de Jade
Le livre les eaux de Jade est très loin de la réalité. Sais un livre de science-fiction. Ce livre est dur a comprendre pour les 14 ans et moins. Le roman ne ma pas du tout plus pour trois raisons, la première je n’aime pas lire, la seconde je n’aime pas les romans de science-fiction, les seuls que j’adore sais des biographies et troisièmement l’histoire est dur a suivre. L’intrigue est là jusqu'à la fin même si je n’aime pas lire je le continuais pareil, juste pour savoir l’intrigue de la fin. Elle vient à la fin fin fin du livre. L’histoire est vraiment intrigante. Les personnages du récit me plaisent bien parce qu’ils sont très bien décrits. Ils y en à des beaucoup plus attachants et réaliste que d’autre. Mais ils y a des personnages qui passe une fois au début de l’histoire et sais plat. Sais du ‘Bla Bla’ et qu’il son inutiles au reste du récit.