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Critiques de Phil Castaza (44)
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Nos vies prisonnières

C’est le genre de BD dont la thématique peut également vous parler dans l’hypothèse où vous avez des ambitions professionnelles à réaliser. Celles-ci se font très souvent au détriment de la vie de couple et plus largement de la vie de famille. Il faut choisir, soit le boulot, soit la femme et les enfants mais on ne peut pas tout avoir car c’est le facteur temps qui fait défaut.



On est très souvent prisonnier de nos propres vies. On est englué dans un quotidien qui ne nous plaît pas vraiment mais qu’on accepte pour ne pas perdre un boulot qui permet de gagner de l’argent et par conséquent de vivre plus ou moins correctement. L’ambition peut parfois conduire à la perte du bonheur et du bien-être.



C’est une BD chorale où l’on va suivre différents personnages qui s’entrecroisent. La particularité est qu’à force, on ne va plus que s’intéresser à deux ou trois d’entre eux qui ont auront vraiment une profonde interconnexion. Et ce n’est pas forcément ceux qui sont mis en avant dès le début de cette BD ce qui pourra dérouter le lecteur au passage. En même temps, je me dis qu’il y a un éparpillement assez inutile de personnages secondaires qui n’apportent rien à l’intrigue principale. Un recentrage aurait été louable.



La tendance actuelle de notre société est de donner un sens à sa vie et surtout un sens à son travail. A force d’accepter ce qui nous déplaît, cela a forcément une conséquence sur nos vies. Il est parfois difficile de suivre sa voie. Et puis, on se perd souvent dans ses priorités.



A noter également qu’il s’agit de la critique de ces grandes entreprises qui broient le personnel si les objectifs ne sont pas atteints. Chacun essaye de se protéger du grand ménage. Forcément, on y perd un peu son humanité et de sa compassion pour ceux qui doivent trancher dans le vif.



On ne pourra pas reprocher à cette œuvre assez réaliste un manque de profondeur psychologique, bien au contraire. Les personnages notamment féminins ont un caractère bien trempés dans ce conte social moderne.



On avance progressivement pur aboutir à un final qui fera dans l’émotion mais qui marquera surtout la moralité de cette BD comme quoi, il ne faut pas passer à côté des choses essentielles de la vie comme sa partenaire et ses enfants. A-t-on besoin d’une BD pour savoir cela ? Pas forcément mais cela peut parfois aider à y voir plus clair. On se pose évidemment les bonnes questions dans une réflexion qui demeure utile de temps en temps.



La qualité est présente dans le déroulé mais également sur l’aspect graphique qui est impeccable dans ses effets. La colorisation par exemple sera utilisé à bon escient. Il y a parfois un changement de technique avec de prises de risque pour remonter par exemple dans le passé. J’aime bien ce genre qui fait finalement dans l’efficacité au service d’une histoire.



Au final, nous avons un album qui donne à réfléchir car il est proche de nos vies et de nos préoccupations. Après tout, il faut rester maître de soi-même car on dispose du libre-arbitre. A nous de faire les choix de vie qui s’imposent pour que l’on soit heureux et ne pas se sentir prisonnier de notre propre vie.

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Nos vies prisonnières

Un chef d'entreprise qui se voit retirer la garde de ses enfants suite à un petit voyage avec une jeune demoiselle, laissant ainsi seuls ses deux gamins pendant presque deux semaines...

Ce même chef d'entreprise qui informe Hélène, une de ses cheffes d'équipe, que ses résultats sont bien en-dessous de ses objectifs...

Cette cheffe qui informe par la suite Félix, un des membres de l'équipe, que ses résultats ne sont pas bons...

Ce médecin qui en a marre de son boulot et des petits bobos de ses patients. Lui, ce qu'il voulait, c'était devenir écrivain...

Chacun d'entre eux va se rendre compte qu'il n'est pas heureux. Aussi, lorsqu'un événement va bouleverser leur existence routinière et banale, chacun va pouvoir faire le bilan de sa vie...



Parno nous invite à découvrir, d'une part, une galerie de personnages qui, au fil des pages, va se révéler et, d'autre part, les liens qui les unissent. Des personnages qui s'entrecroisent à un moment-clé de leur vie, la plupart du temps étriquée. Dans ce monde impitoyable et conditionné qui est le nôtre où tout un chacun doit réussir professionnellement, quitte à s'oublier, l'auteur montre combien le bien-être et le bonheur passent en second plan, combien il est difficile de trouver sa voie et d'être soi-même. La faute, notamment, à ces fameux objectifs des grandes entreprises, à ce concept d'ambition parfois démesurée. Il montre également combien les rencontres, parfois hasardeuses, peuvent bouleverser notre vie. Cet album choral, divisé en plusieurs chapitres s'attardant sur l'un ou l'autre, se révèle sensible, parfois émouvant. Le trait de Phil Castaza oscille entre semi-réaliste et flou en monochrome rouge lorsqu'il est question du passé.



Un album ancré dans le présent qui donne à réfléchir...
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Nos vies prisonnières

Un roman graphique bien construit sur le monde de l’entreprise où seuls les mots objectifs et argent sont primordiaux au détriment des mots humanité et compassion. Combien de personnes prisonnières de leur vie ? Liberté et être heureux perdu par le travail ? Un manuscrit poignant et profond d’un père à son fils. Un beau personnage que celui du médecin intermédiaire. Merci à Marina53 qui, par sa critique, m’a donné envie de le lire.
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Nos vies prisonnières

Je me suis lancé dans la lecture de cette bande dessinée un peu par hasard sans rien connaitre du travail précédent des auteurs. Le titre et la jaquette de ce roman graphique m’ont interpellés et je n’ai du tout pas été déçu de ce test. Quelle belle surprise que de tomber sur une œuvre d’une telle qualité !



En démarrant cet album, on s’imagine qu’il va se constituer de petites scènettes dédiées à des personnages différents qui ne se rencontreront jamais. On pense s’être plonger dans un recueil qui va nous offrir des brèves de vies. Et bien, il n’en est rien. Au fil du récit, les histoires indépendantes de protagonistes que rien ne semblait reliés de prime abord vont se trouver intimement liées. Cet entremêlement de destins est passionnant à suivre et surtout à découvrir au fil des pages. L’univers graphique est simple. Le dessin est très stylé bande dessinée.



La colorisation est vive et dynamique. Le véritable atout visuel de « Nos vies prisonnières » se dévoile lorsque le lecteur découvre un récit dans le récit. Un manuscrit écrit par l’un des personnages de cette histoire qui va être lu, relu et rerelu au fil de cette bande dessinée. Les couleurs y sont différentes, le trait du dessinateur change totalement. On se retrouve projeté dans un monde différent de celui dans lequel on était plongé jusqu’ici. L’effet est parfaitement réussi et on en redemande.



Le propos de cette œuvre est magnifique et poussera chaque lecteur à une introspection minutieuse, une remise en question de ses propres choix de vie. Les personnages de ce récits prennent conscience petit à petit de la prison qu’est insidieusement devenu leur vie. Pourrait-il en être de même pour nous ? Ce roman graphique propose donc un thème fort avec une ambiance qui peut paraitre assez déprimante. Il est pourtant important de souligner la belle happy end qui attendra les lecteurs persévérants. Alors, n’hésitez pas à faire vous aussi le teste de « Nos vies prisonnières » et à vous poser les bonnes questions sur votre vie !



Merci à Babelio, à Bamboo éditions et à l'opération Masse Critique pour cette superbe lecture !!
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Les contes de Brocéliande, tome 4 : Du rififi..

Dernière bande dessinée empruntée à la bibliothèque : Les contes de Brocéliande, tome 4 : Du rififi en Bretagne.

Un malfaisant veut transformer la forêt de Brocéliande en terrain de jeux pour déchets ménagers en tout genre. L'entreprise énerve une partie de la population bretonne qui décide de résister. En parallèle, nous découvrons deux contes très bretons.

Ce dernier tome des contes de Brocéliande est un mélange de conte et de polar humoristique. Nous découvrons une entreprise malfaisante, des villageois bien décidés à se battre ainsi que deux contes très bretons qui m'ont charmés. Le château de la demoiselle en blanc est un conte classique où une jeune femme va aider un jeune homme dans le but qu'il l'épouse. J'ai apprécié l'histoire, les textes, les illustrations, les couleurs. Ainsi que la chute de l'histoire. L'ensemble m'a charmé. J'ai également apprécié de découvrir Le moulin des quatre vents, dont les couleurs sont différentes mais c'est tout à fait adapté.

Quand à la fin du tome, elle est bien trouvée et montre que les méchants ne gagnent pas toujours ;) Ils ne croyaient quand même pas qu'ils allaient transformer Brocéliande en décharge, Non Mais Oh !

Je suis ravie de ma lecture, c'est mon tome préféré de cette série de BD et je lui mets avec plaisir cinq étoiles :)
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Sold Out, tome 1 : Face A

Vous connaissez la série BD Les vieux fourneaux ? Oui. Alors vous avez déjà quasiment lu Sold-out, démarquage à peine masqué de celle-ci.



Il y a dans un cas comme un autre des anciens – dynamiques les anciens… - , ballottés par leurs souvenirs, reconstituant leur groupe de jeunesse. Petite différence, on parle là de rock là, yeh ! Ils ont conservé la pêche - ou au moins le sens du rythme – et continuent à prendre leur pied à interpréter les chansons de leurs rockeurs préférés.

A part ça… Ben… y a que cela dans ce premier tome. Juste la présentation des personnages. Dans les Vieux fourneaux, Lupano prend soin de bâtir une intrigue par tome ; ici Castaza se contente de peu.

Les dessins ne valent pas ceux de Jérôme Maffre. Certains visages rappellent pourtant, en plus carrés, les têtes des héros des Vieux fourneaux.



Désolé de limiter cette BD à cette comparaison, mais franchement, quand on a lu cette série, difficile de ne pas faire le rapprochement. Si vous ne connaissez ni l’un, ni l’autre, préférez l’original.
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Nota Bene, tome 4 : La mythologie égyptienne

• « Nota Bene, tome 4 : La mythologie égyptienne » de Benjamin Brillaud.



• Le monsieur en premier plan sur la couverture, narrateur de notre aventure culturelle, est Benjamin Brillaud aka Nota Bene. Nota Bene est le nom de sa chaîne youtube, car oui cet homme est un youtuber français assez connu, dont le contenu de sa chaîne est similaire au contenu de cet album, à savoir la vulgarisation de l'Histoire avec l'appuie de ressorts comiques. Je connais le monsieur de part sa notoriété, et parce que j'ai un ami qui apprécie son travail, mais je n'ai à titre personnel jamais regarder une seule de ses vidéos.. Pas de raisons particulières à cela, si ce n'est que je n'ai pas l'amour des dates historiques, qui ont hantées mes années scolaires (pas autant que la géographie mais tout de même), mais aussi parce que mon utilisation de Youtube se cantonne à de l'humour ou à des sketchs d'animation. Ne venez donc pas chercher dans cette critique une comparaison avec la chaîne Youtube de Nota Bene, je n'ai aucun moyen de vous aiguiller.



• L'époque de l'Egypte ancienne est l'une des plus fascinantes aux yeux d'une grande partie de la population, et a inspirée un grand nombre d'auteurs et cinéastes, tant la mythologie qui l'entoure est propice à attirer le public. Mais cette mythologie fantaisiste est bien loin de la réalité, et c'est avec cette affirmation qu'est introduit le cours d'histoire du Nota Bene.



• La bande-dessinée est très complète en ce qui concerne le contenu informatif. On apprend énormément de choses et sur de nombreux sujets différents, passant par les rituels, l'alimentation, l'image de l'esclavagisme, la construction des pyramides, le statut social, la ou plutôt les mythologies.. On ne peut franchement pas se plaindre si l'on désirait apprendre des choses, il y en a pour tout les curieux. Ce que je reprocherais plus aisément, c'est le côté humoristique et la façon de compiler les informations les unes à la suite des autres. Pour l'humour, j'avoue ne pas avoir été séduit, ce n'est pas trop mon style.. très présent mais trop enfantin à mon goût peut-être, je ne saurais vraiment le définir. Pour ce qui est de la narration, je trouve celle-ci un peu vieillotte, elle me rappel cette BD sur Zidane que j'avais critiquée dans mes débuts sur le site et qui malgré un contenu intéressant avait tendance à mettre de nombreuses informations textuelles qui pouvait être lourdes à force de nous en charger l'esprit.. Une ou deux pauses aurait été peut-être la bienvenue pour laisser le lecteur digérer ce qu'on lui offre, d'autant qu'une bonne partie du public de ce genre de BD sont des jeunes, qui on besoin d'équilibre entre l'informatif, le ludisme et l'humour pour bien assimiler.



• Il est vrai que j'ai été surpris de certaines informations et anecdotes, tant elles semblaient ancrées dans mon esprit comme une vérité absolue et inviolable.. Pour d'autres, je me doutais que certaines idées reçues provenait bien évidemment du cinéma et de la littérature de fiction (qui malgré leur côté divertissant nous pousse vraiment à croire un paquet d'âneries).



• Le dessin est simple mais efficace, il n'en faut pas plus pour les besoins de cette série, ici l'on ne cherche pas un style extravaguant ou unique, qui n'aurait que tendance à chiper (Chipeur arrête de.. Oups pardon, moment d'égarement !) le rôle vedette à l'Histoire. Les illustrations sont sympas et figures bien les scènes commentées par le Nota Bene.



• Très bonne BD informative, mais qui doit être lue plusieurs fois pour qu'un jeune esprits puisse en assimilé tout le contenu. J'ai apprécié, notamment le passage final relatant du passage dans le monde post-mortem (il me suit en ce moment celui-là..), très intéressant et dynamique. Si vous ne connaissez pas le youtuber, vous perdrez peut-être quelques références, mais cela ne vous empêchera pas d'apprécier votre voyage aux terres du sable et des momies.
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Nos vies prisonnières

Cette bande dessinée nous incite à réfléchir sur notre vie, nos choix, notre existence: en sommes-nous maître ? Que décidons nous? Nous échappe-t-elle ? Un vrai questionnement sur le sens de notre vie, sur nos engagements, sur nos priorités. Je recommande !
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Les cons ça ose tout

Arrière petit-fils d'un grand bandit célèbre de Chicago, Tonio, Gino et Aldo tentent de perpétuer la légende familiale à Paris. Pour le meilleur mais surtout pour le pire! Cette bd va très loin dans la caricature de la connerie tout en calquant le tout sur la réalité!



Un début très prometteur mais cela s'épuise par la suite en trois histoires plus ou moins marrantes : le hold-up des pièces jaunes dans le train, le casse à la dynamite d'un commissariat par erreur et l'enlèvement d'un animateur d'une émission de télé-réalité.



Les situations sont volontairement très cocasses et cela se lit très facilement. On ne peut que sourire devant tant de connerie humaine.



Le problème, c'est qu'après lecture, il ne reste presque rien. Bah, le banditisme, ce n'est plus ce que c'était!
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Khatedra, tome 2 : Le retour

On retrouve dans ce second tome les mêmes forces et les mêmes faiblesses que pour le premier.

La lecture est facile, pas d'un grand suspense, on se demande même où ça va nous emmener avec encore quelques intrigues faciles. Des éléments dont je n'ai pas bien compris l'intérêt final. Et un monde réel qui n'a aucun intérêt. Aucun lien fait entre les deux. Mais là encore quelques points qui nous font réfléchir.

Félix, se rendant compte qu'il a été manipulé, veut réparer ses erreurs. Mais pour cela il doit rentrer de nouveau en guerre. Avec de nouveaux des massacres. Un dilemme malheureusement toujours très actualité. On ne trouve pas toujours la paix avec la guerre, même pour venir en aide à un peuple opprimé. Une vision assez sombre des relations entre communauté, la manipulation des populations et des images données sur ses "ennemis".

La fin est d'ailleurs à cette image. Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir... Comme si ces problèmes humanitaires n'avaient de solution et donc de fin. Une paix introuvable, un déchirement constant.

Les dessins sont très agréables. On parcourt toujours le Pays avec plaisir, avec ses couleurs, ses statues, c'est un ravissement.
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Nos vies prisonnières

Deux mondes glissent l’un à coté de l’autre dans cette longue BD qui contient une histoire unique : celui de la banque et de la médecine. Différents protagonistes nous racontent, façon roman choral, qu’ils n’en peuvent plus de la vie qu’ils mènent, qu’ils ont l’impression de la subir sans avoir rien choisi. C’est toujours le même refrain, productivité, bénéfices, pions sacrifiés sur l’autel du rendement, bla bla. Au-dessus il y a toujours un chef (qui a lui aussi son chef etc.) qui n’a d’autre choix que de jouer ce jeu, où tout le monde est perdant. Le médecin de l’histoire est au bout du rouleau lui aussi, les patients lui sortent par les yeux (ses fantasmes de réparties sont consternants, au passage) et c’est comme d’un parchemin magique qu’il s’empare d’un document que le hasard place entre ses mains. À partir de là, on assiste à une sorte d’enquête/rédemption improbable qui m’a fait grincer des dents tellement c’était téléphoné. Lu dans le cadre de l’opération Masse Critique de Babelio, je reconnais à cette BD de réelles qualités graphiques : le dessin change de techniques et de tonalités selon le moment qu’il décrit et le découpage en plusieurs chapitres aère bien une histoire par ailleurs plutôt dense. En revanche je n’adhère pas du tout à l’intrigue dont j’ai détesté l’ambiance triste au possible.

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Sold Out, tome 1 : Face A

Les illustrations sont sympas à regarder, l’intrigue passe bien aussi mais manque cruellement de profondeur. C’est quand même intéressant de voir qu’à plus de 70 ans on n’est pas un vieux qui ne fait plus rien de ses journées, au contraire, nos compagnons vont reformer un groupe de rock comme dans les années 60. Le bon vieux temps n’a pas d’égal et c’est avec beaucoup d’humour que l’on suit les personnages. J’ai aimé mais sans plus, je ne me reconnais pas dans les personnages principaux mais au moins ça swing ! Le tome présente plus qu’une simple présentation, il y a toute une intrigue même si on se doute facilement de ce qui arrive ensuite, aucun suspens n’est présent et ce n’est pas le but, il faut plutôt se laisser bercer par la musique et apprécier ce petit moment de joie.
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Champions !

Phil Castaza reprend journée après journée les 38 matches des Girondins pour aboutir au titre de 1999. L'intrigue est linéaire et les dessins assez simples. Pour les fans de Bordeaux uniquement.
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Voitures de légende, tome 1 : La DS

Les personnages sont agréablement bien caractérisés, même si Laurent Moénard ne creuse pas trop les psychologies, restant la plupart du temps dans une approche assez basique, mais suffisante ! Graphiquement, là aussi c'est efficace et très propre.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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CIA, le cycle de la peur, tome 1 : Le jour ..

La C.I.A, cette grande nébuleuse qui rime avec complots, mensonges, trahisons, secrets. Un entité gouvernementale à qui on prête beaucoup de pouvoirs et d'influence se voit, au lendemain du 11 Septembre, obligée de réagir et d'anticiper les prochaines action terroristes des ennemis de l'Amérique. Attentats que les complotistes lui attribuèrent allègrement.

C'est sur ce postulat de départ que l'histoire se développe et nous offre un scénario digne des meilleurs films d'espionnage. Un scénario bourré d'action, de surprises et d'idées vraiment sympas qui nous permettent de nous plonger au cœur du complot. Malgré quelques clichés dans l'écriture des personnages le tout est très agréable à lire. Mon seul regret réside dans les desseins( traits de visages pas assez marqués) et la couleur (un peu criarde) qui contrastent trop avec le sujet mais qui ne gâche en aucun cas le plaisir de lecture de ce tome 1.

Bonne lecture.

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Nota Bene, tome 4 : La mythologie égyptienne

Une lecture un peu spéciale, déjà parce que c'est le dernier Nota Bene est ce n'est pas négligeable, et puis parce que j'ai acheté cette BD à la boutique du musée de la BD à Angoulême donc elle a un petit gout spécial.

Deuxième BD sur un seul thème, après la mythologie nordique, place à l'Egypte, déjà c'était le bon choix la galerie de portraits des deux premiers tommes était trop superficiel, j'ai vraiment bien aimé, l'humour de Nota colle parfaitement avec l'univers d'une bande dessinée, même si j'avais tendance à préférer le dessin de Christian Paty sur certains aspects, mais la BD reste très belle.

Vivement la suite, vraiment :)
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CIA, le cycle de la peur, tome 2 : L'heure ..

Ce tome 2 redémarre là où le 1 nous avait laissé: en plein chaos.

Et c'est tant mieux. Le plaisir de lecture reste le même et les bonnes idées se multiplient à mesure que le mystère s'épaissit. L'ennemi reste insaisissable et toujours avec un coup d'avance.

Ce tome 2 met en avant la difficulté de collaborer des différentes entités et les luttes de pouvoirs au sein même de l'administration. Elle place aussi au centre du complot l'attitude très invasive du gouvernement dans la vie de ses concitoyens et les moyens de monitorer au mieux leurs moindres faits et gestes. Un état tout puissant qui se retrouve prit à son propre piège.

Bonne lecture.
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Sold Out, tome 2 : Face B

Les Vieux Rockers



Après un premier tome rythmé et entraînant comme un morceau des Stones, Phil Castaza referme son diptyque mettant en scène un quatuor de rockers sur le retour rêvant de s’offrir une seconde jeunesse en remontant sur scène pour un ultime concert…



Après s’être retrouvé, encore fallait-il trouver une salle pour se produire… Mais comment faire quand on est sorti du circuit il y a près d’un demi-siècle ? Heureusement, Jean-Pierre, Georges, Lili Pop et John Clash vont recevoir du renfort de leurs copines ou de leurs petits enfants pour mettre en place un site internet et utiliser les réseaux sociaux pour mobiliser leurs fans… Mais de mauvaises nouvelles vont venir compromettre leur grand retour…



Porté par une poignée de personnages attachants, le récit s’achève sur une note poignante mais revigorante qui fait de Sold Out un diptyque résolument feelgood…


Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Sold Out, tome 2 : Face B

La partie graphique reste du même acabit que le tome précédent, avec un semi-réalisme toujours aussi plaisant. Phil Castaza fait du bon boulot dans l’animation de ses personnages qu’il tend à rendre attachants, tout comme dans la réalisation des décors particulièrement aiguisés
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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CIA, le cycle de la peur, tome 3 : La derni..

Ce troisième tome est fort bien construit. Le suspense tient en haleine le lecteur jusqu'au bout. […] Le dessin de Phil Castaza est efficace : […] il arrive à instaurer un certain rythme, une certaine ambiance dans ces pages.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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