Il avait déjà entendu parler d’une espèce de code d’honneur de chasseurs : on ne tue pas pour le plaisir. On tue pour perpétuer une tradition, pour réguler des populations, ou par nécessité. Le corollaire constituait une règle concrète : il faut toujours attendre le moment où l’on est sûr de pouvoir abattre l’animal d’une seule balle. Et il doit mourir sur le coup, sans souffrances inutiles.