Enfin, la chanson " Vague à l'âme", introduite longuement par le même bruissement d'avion ( "C'est le Concorde ! " s'amuse Jacques), puis par les onomatopées higelinesques, sorte d'improvisation nonchalante, entre piano bucolique et poire Williams à 40 degrés.
Le tout scandé par " les Oiseaux du château ".