Puis il m'a dit que là où il allait, des fleurs, il y en avait des milliers, et des milliers qu'il ne connaissait pas, qu'il n'avait jamais vues, ou alors, pour certaines, seulement dans les livres, et qu'on ne pouvait pas toujours vivre dans les livres, que la vie et ses beautés, il fallait bien un jour les prendre à pleines mains.