Malgré le soin que j'ai apporté à la rédaction de ces "stocks de souvenirs", tant de passages restent confus, tant de notations demeurent obscures. Cela est dû aux interférences entre le vécu et l'imaginé, entre l'intemporel et le discontinu, entre l'affectif et l'instinctif qui se sont produites tant au niveau du subjectif vécu par le sujet qu'à celui de mon travail sur l'enregistrement.