Que la détresse dont l’enfant mourant offre le spectacle nous renvoie à l’archaïque déréliction d’être né, déréliction dont chaque individu conserve en lui le souvenir traumatique et qu’il lui a fallu surmonter pour grandir mais dont il sait bien à quel point elle a laissé en lui une plaie fragile que tout chagrin ne demande qu’à faire de nouveau s’ouvrir, cela est tout à fait pensable.