Et une étrange angoisse l’envahissait. Pas celle de se faire prendre, de se faire torturer ou de se faire tuer, non… Mais l’angoisse de ce qu’il redeviendrait lorsqu’il ne serait plus Bayard. Revenir à la case départ, ce serait ça, son destin ? Redevenir le petit instituteur à blouse grise, avec les mioches et les devoirs à corriger. Impossible…