Et moi, je suis devant mon écran, je termine cette histoire, je me sens léger, un peu vieux quand même – j’ai quarante-neuf ans, j’ai mal au genou gauche : il va pleuvoir ce soir ou demain. Je reste assis là au milieu des journaux de l’époque éparpillés, jaunis, au milieu de tout ce papier sec à l’odeur particulière, l’odeur du temps qui a passé.
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