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EAN : 9791041416424
504 pages
Points (01/03/2024)
4.02/5   409 notes
Résumé :
Aucun romancier n'aurait pu inventer un personnage aussi fascinant que celui de Bruno Sulak. Tout au long des années 80, ses braquages audacieux et ses évasions répétées – sans la moindre effusion de sang – ont défrayé la chronique judiciaire. Ancien légionnaire, parachutiste émérite, charmeur, généreux et intègre, follement épris de liberté, Bruno Sulak a marqué les mémoires avec ses casses spectaculaires. Pendant dix ans ce jeune homme a défié les lois de la Répub... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (86) Voir plus Ajouter une critique
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Philippe Jaenada m'a déjà passionné avec La petite femelle, La serpe, Au printemps des monstres et, plus récemment, Sans preuve & sans aveu.
Au hasard d'un désherbage de ma médiathèque, voilà que j'aperçois un livre du même auteur : Sulak. Comme je ne l'ai encore pas lu, je me dépêche de le prendre tout en râlant devant cette élimination d'un tel bouquin des collections…
Je me suis donc lancé goulument dans la lecture de cette autre enquête menée par Philippe Jaenada, un livre publié en 2013. Comme d'habitude, c'est fouillé, émaillé de rencontres, de recherches et, bien sûr, d'anecdotes concertant l'auteur lui-même, en lien avec ses recherches ou avec les dates des faits qu'il relate.
Si Bruno Sulak est né à Sidi Bel Abbès (Algérie), le 6 mars 1955, l'essentiel du livre, le plus palpitant, se passe dans les années 1980. L'auteur n'oublie rien, présente les parents de Bruno et surtout sa fille, Amélie Sulak, qui lui a apporté quantité de détails, d'éléments précieux pour son récit.
Je ne suis jamais déçu par le style Jaenada, sérieux, efficace et souvent teinté d'humour. C'est passionnant et de plus en plus addictif. Avant de plonger dans l'action et de suivre pas à pas Bruno, j'apprends que la famille Sulak est originaire de Pologne. Stanislas, le père de Bruno, a été légionnaire comme son fils le sera plus tard. Par moments, l'auteur délaisse la famille Sulak pour quelques Yougoslaves qui interviendront dans la vie de Bruno… patience.
Au passage, Philippe Jaenada glisse sa date de naissance, le 25 mai 1964, la même année où Krsta Zivkovic arrive à Levallois-Perret, depuis Belgrade. Il deviendra un des plus fidèles amis de Bruno.
Il n'a pas 20 ans quand, à Marseille, il vole une voiture avec trois autres comparses et ça lui vaut quatre mois de prison. Ce n'est donc pas très bien parti et commencent les changements de nom, de métier, de lieu de vie et… la légion étrangère.
C'est un événement malheureux qui l'oblige à déserter et le pousse dans la délinquance. Avec Yves, mari de sa belle-soeur, à court de fric, ils se lancent dans le braquage du Mammouth (hypermarché de l'époque), à Albi, et réussissent. Cela se passe sans faire la moindre victime et ce sera la marque de fabrique de Bruno Sulak, que ce soit dans les supermarchés ou, plus tard, dans les bijouteries, sa grande passion.
Sa vie est très mouvementée. Philippe Jaenada nous le rend très sympathique tout en démontrant l'engrenage fou, une fois lancé, impossible à arrêter. Beau gosse, notre homme séduit les femmes, à commencer par Patricia qu'il épouse et Amélie naît le 23 avril 1979. Il y aura aussi et surtout Thalie et bien d'autres pour lesquelles il n'hésite pas à dépenser sans compter l'argent volé.
L'auteur n'oublie pas les flics et surtout Georges Moréas (OCRB) qui veut absolument l'arrêter, s'attache au personnage mais se retrouve coincé par la rivalité entre les services de police. Par exemple, la BRB (Brigade de Répression du Banditisme) n'informe pas l'OCRB (Office Central pour la Répression du Banditisme) de Georges Moréas sur ce qu'elle vient d'apprendre à propos de Sulak qui en profite pour disparaître... et me fait voyager un peu partout en France et même en Amérique du Nord et au Brésil avant que Philippe Jaenada me fasse vivre ses évasions, en apnée. Je note aussi que la presse, pour aguicher le lecteur, n'hésite pas à titrer, à son sujet « Ennemi public et superstar ».
Comme l'auteur aime la précision, il détaille les conditions de détention inhumaines imposées à Bruno Sulak mais je vous laisse le plaisir de plonger dans ce gros livre afin de vivre jusqu'au bout cette histoire grâce à l'énorme et minutieux travail de Philippe Jaenada qui raconte tout cela si bien.

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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♫Vous avez lu l'histoire
De Jesse James
Comment il vécu
Comment il est mort
Ça vous a plus hein
Vous en demandez encore
Et bien
Écoutez l'histoire
De Bonnie and Clyde♫
Serge Gainsbourg - Brigitte Bardot - 1968 -

C'est René Chateau, occupé pour la promo
film Warner Bros, Bonnie and Clyde Barrow
Contacte Gainsbourg , chanson en intro
Serge, pas foulé, écrit en moins de 24 h chrono
Poème de Bonnie Parker, traduit mot pour mot
René Chateau, c'est lui qui interviewe en 1965 JP Belmondo
pour le magazine Lui, sur le tournage de Pierrot le Fou....
Quel est le rapport avec notre histoire, me direz-vous !
ALors puisque vous voulez savoir installez-vous .....
Le Professionnel, avec Bebel , et son garde du corps , Steeve, " le boxeur " pour les Yougo
P'tit rôle, mais seule image fiable pour les journaux
Quand on se promène au bord de l'eau
comme tout est beau, chante un gars bien
Dans la légion le diable marche avec nous chante le refrain
Faut le savoir, dans la légion ça rigole pas...
Stanislas Sulak , c'est le papa, y laissera un bras
on ne parle jamais de la difficulté pour tous ceux là
de se laver les mains, on ne retient que le coup de main ....
donc Steeve, le boxeur, et c'est un euphémisme rejoint Sulak Bruno, notre héros
Combien pour cette Panthère dans la vitrine ? Houa houa ! (Là faut que je saborde, non faut que j'aborde le style Jaenada et ses parenthèses (Un briquet panthère de chez Cartier, platine diamants, onyx émeraude , il n'en existe que quatre dans le monde, chacun unique;ferme la première), arrive la deuxième.) Rien ne lui résiste, l'esprit humain capable de prodiges optimistes.habitudes intrinseques. Pas question que sa famille subisse les conséquences de son décalage à la marge. Révolté contre la norme, le fric et l'hypocrisie, prendre tout ce qui brille, mêche allumée prêt à faire des étincelles, voire de se faire la belle.....Thalie sa muse, pas tant que ça , l'attend elle s'use, si l'on s'en sert, woman Wonder quand nécessaire .....
Evasion, Train corail , gendarmes otages, revolver , Coffre BmW, Anthony Delon,...je passe tout ça ce serait trop long. Faudrait que je vous cause du Fanfaron, Desproges , de Laurent Fignon, retour case Prison...
(Pour le plaisir ( Palindrome : STAR A CARATS) )
Steeve, abattu par derrière
Désertion des légIonnaires
pour tous les goûts Spaggiari Albert
L'EAU, l'AIR, le FEU , la TERRE
les Quatre éléments, symbole solaire
Regarde devant ce qu'il te reste à faire
Ne regarde jamais derrière
erreur administration judiciaire ?
ardeur musclée pénitenciaire ?
d'un deuxième étage jeté par terre
ou battu à coups de barre de fer
Voltaire très en colère
Homicide involontaire !
évasion manquée, corruption fonctionnaires
1985, à 29 ans, Sulak meurt sans peur à sang Pitié-Salpétriere.





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Bruno Sulak défraya la chronique en devenant l'ennemi public N°1, braqueur gentleman , « ces exploits » eurent le don de se mettre toutes les polices à son dos, tandis que son parcours atypique lui valait une certaine sympathie. Aucun de ces nombreux braquages ne fit couler le sang.
Et la, moi qui viens de refermer le livre de Jaenada, j'en suis sur le cul. Tombé par hasard sur ce destin hors norme, Jaenada décide dans faire un méticuleux récit, avec empathie, n'hésitant pas à poser des questions restées sans réponses lors de sa mort.
Son bouquin est bluffant, prend aux tripes. Mais il sait aussi lui insuffler un brin d'humour salvateur. Jaenada ne s'arrête pas au seul Sulak, il relate les vies de ces proches, Stanislas magnifique père, ne jugeant jamais son fils, Thalie l'amour de Sulak, ces soeurs fières et forcément inquiètes, de ce frère qui refusait de suivre le chemin balisé. de ce flic Georges Moréas, devenu auteur, qui se reconnait dans ce voyou charmeur.
Passionnant de bout en bout, Jaenada n'hésite pas à mêler des éléments de son existence, à rappeler des évènements de l'époque pouvant expliquer la chasse orchestrée par différents services policiers.
Jaenada signe un grand bouquin.
Allez, direct dans votre pense-bête.
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Comme disent joliment les québécois : me v'là tombée en amour!

C'est trop tard, non pour moi (pas d'âge pour le coup de palpitant!) mais pour la love story , si ce n'est dans mes rêves: mon bel amoureux est mort et enterré, et, comble de misère, à un moment et dans des circonstances qui me sont passées complètement sous le nez! On n'en avait, à l'époque, que pour Mesrine, et la geste sanglante de l'ennemi public n°1, si elle a défrayé la chronique et n'avait rien pour me faire fantasmer, a pris toute la place et relégué ce gangster gentil au second plan.

Oui, si vous avez bien lu entre les lignes, je me suis prise de passion pour un beau cambrioleur , plein de talent et de culot, plein de charme et d'humour, dont le charisme fracassant a séduit mauvais garçons, belles filles, mais aussi commissaire , matons, et juge d'instruction!

Jamais le moindre sang sur les mains, seulement le goût du risque et du jeu, celui de la confrontation et du défi, et même, je n'hésiterais pas à le dire, un certain sens de la justice et de la répartition équitable des richesses! Sens de la famille, sens de l'honneur, culte de l'amitié, dons multiples, surdoué en tout, sans ostentation mais avec une certaine jubilation ..on n'en jette plus!!

Sulak. Bruno Sulak.

C'est le nom de ce gentleman cambrioleur, de ce gangster de charme, ce moderne Robin des bois, ce prince des monte-en-l'air et de la cambriole doublé d'un virtuose de l'évasion !

Sulak tel que le voit Philippe Jaenada, dans ce gros livre que je n'ai pas pu poser- dont la vie haletante -deux nuits blanches- et hélas si courte, m'a tenue en haleine et...fait tomber, comme je vous le disais, en amour...

Il faut dire que Jaenada, décidément, sait s'y prendre, pour croquer et faire vivre ses personnages, qu'il sait vous harponner avec doigté, vous faire frire d'impatience, bouillir de rage, fondre de tendresse pour son héros, cela va sans dire, mais aussi pour ses acolytes : ce malfrat serbe au grand coeur, Radisa "Steeve"Jovanovic, son alter ego, prêt à se faire tailler en pièces pour son "frère ", Thalie, "La Grande", son amour, ses parents adorables et adorés , ses soeurs affectueuses, le commissaire Moréas, son flic attitré et beau joueur, trop tôt reconverti dans le scénario et l'écriture de polars, son juge d'instruction, cultivé et sensible, qui convoquait hors de la prison, pour lui faire prendre l'air et échanger des idées, cet esprit rebelle et brillant.

Avec un sens inimitable du rythme, alternant les parenthèses hilarantes et les épisodes pleins de suspense, croisant et recroisant les fils du récit sans s'y perdre, boulimique de renseignements épluchés avec un sens critique aigu, plein de fougue, d'empathie et cependant toujours précis, exact et factuel, Philippe Jaenada est ici à son meilleur, me semble-t-il.

Encore plus palpitant, plus convaincant que dans La Serpe.

Il faut dire qu'il n'est pas besoin, comme avec le personnage de Georges Arnaud, à l'abord déroutant et difficile, de nous retourner comme des crêpes au milieu de son récit : Sulak est un personnage en or, qui conquiert son public au premier sourire- qu'il a ravageur- et emporte tous les coeurs -dont le mien- dès sa première apparition!

La fin, bien sûr, est désolante, mais Jaenada n'est pas responsable du scénario, car les faits, comme on dit, sont têtus. ..on peut même dire , dans ce dernier cas, qu'ils sont crapuleux et que l'immoralité, la barbarie, la lâcheté crasse ne sont pas, comme on pourrait le croire, du côté des délinquants , tant s'en faut!

Réservez-vous un gros week-end, coupez votre portable, et vivez sans modération les émotions formidables de ce livre! Il vaut tous les voyages!

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Si ce n'est peut-être Marseille, la ville de son enfance, rien ne prédispose Bruno Sulak à devenir un voyou.

Son père, d'origine polonaise, est un ancien légionnaire blessé en Indochine et décoré pour ses faits d'armes, et Sulak, dans un premier temps, va suivre la voie paternelle. Après un passage dans l'armée, dont il est renvoyé pour un vol de mobylette, il incorpore la légion étrangère. Mais il déserte quand sa compagnie saute sur Kolwezi sans lui ; à la suite d'une permission, il a laissé passer l'heure du retour à la caserne, sans savoir que sa compagnie partait au Zaïre.

A partir de là, Sulak bascule dans la délinquance. Fuyant une vie trop calme, à la recherche de sensations fortes, il braque ses premiers supermarchés. Il est armé, mais son revolver est chargé à blanc ; il ne veut pas risquer de blesser ou de tuer dans un moment de stress. C'est une conduite qu'il adopte même quand, ensuite, il s'attaque à des bijouteries.

La personnalité de Sulak est celle d'un séducteur ; il est beau, charismatique, intelligent, et son charme agit sur tous ceux qu'il croise. Mais après quelques années de coups spectaculaires, de vie facile, de cavales et de passages en prison, au moment où il veut arrêter, le destin en décide autrement.

Philippe Jaenada est tombé sous le charme de Sulak, braqueur de bijouteries paradoxalement idéaliste et non-violent, et rend le personnage attachant. Après un début un peu déroutant où l'on suit plusieurs histoires parallèles, on est séduit par cette histoire de voyou épris de liberté. Au point que dans les dernières pages du roman, on se surprend à espérer une autre fin que celle qui se dessine.
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critiques presse (3)
Culturebox
24 mars 2014
« Sulak », c’est le titre très sobre du nouveau roman de Philippe Jaenada qui a choisi de retracer le parcours fulgurant et un peu mystérieux de Bruno Sullak, une sorte de gentleman braqueur qui défraya la chronique au début des années 80. Son parcours et sa personnalité, profondément romanesque, ont inspiré l’écrivain.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Lexpress
26 août 2013
Sulak n'est pas une biographie à l'américaine. […] A sa manière badine, il serait un peu dans le registre du Limonov (P.O.L.) de Carrère ou du HHhH (Grasset) de Binet. On tourne les pages sans s'en rendre compte, tant tout cela semble fluide, facile, léger.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
12 août 2013
Dans ce huitième roman, Jaenada esquisse, avec humour et nostalgie, un monde qui n'existe plus, un monde dans lequel les gangsters avaient encore du panache. Les flics ne sont pas les seuls à être tombés sous le charme : visiblement, l'écrivain l'est aussi.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (54) Voir plus Ajouter une citation
Il a reconnu la voix, la voix de Thalie. Il crie son prénom lui aussi, il est surpris et heureux de l’entendre, ils se crient qu’ils s’aiment. (Si un lecteur me dit un jour que c’est mièvre, je lui arrache la langue avec mes dents.)
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Ce n'est pas son truc, le rôle de second, à Moréas. Pas par orgueil, ni par soif de pouvoir, simplement parce qu'il aime travailler et mener ses enquêtes à sa façon, en suivant son instinct et ses méthodes, sans devoir se plier, en pestant parfois, aux théories plus ou moins pertinentes de quelqu'un d'autre. Ça le contrarie, ça le frustre, et il a beau se dire que la notion de hierarchie est tout de même pas mal inhérente à la police, il n'arrive pas à se faire une raison, c'est contre sa nature. Quand on a le nez de travers, comme il dit ( et il sait de quoi il parle), on peut pencher la tête pour faire croire qu'il est droit, mais on en a vite marre.
p225
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Elle marchait à sa gauche (en général, un quart d'heure en terrasse n'importe où suffit à s'en rendre compte, les femmes marchent à la droite des hommes - sans doute un automatisme ancestral qui date de la vie en forêt ou, au moins, de l'époque des sentiers infestés de brigands : la femme se place près du bras droit, celui qui peut protéger), car c'était le seul moyen pour elle de pouvoir espérer frôler sa main par inadvertance.
p29
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Les trois garçons sont livrés à eux-mêmes du jour au lendemain. L'une de leurs tantes devient leur tuteur officiel, mais elle n'a pas plus d'influence sur eux qu'une libellule sur trois rhinocéros. Drago part de travers, hors de lui, il glisse vers les petites magouilles et les vols à l'étalage, il n'écoute plus personne, il hait son père et ne pense qu'à venger sa mère [...].
p59
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Le temps d'un battement de cœur, de cils, de vie, de mort, tout s'arrête, tout continue, encore, il veut écrire, retenir cette encre qui fuit....Pourquoi ? Il sait, lui, Bic encre perdue, stylo jeté, effacé, oublié, pourtant jusqu'à l'ultime goutte il écrira, te dira, vivra pour moi - que ne suis-je stylo ! - dans un dernier sursaut, dernière transfusion, vivre ou mourir ensemble.
p478
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Videos de Philippe Jaenada (64) Voir plusAjouter une vidéo
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Anthony Passeron enseigne les lettres et l'histoire-géographie dans un lycée professionnel. Il est né à Nice en 1983, une région qui est au coeur de son premier roman, paru aux éditions Globe, dans lequel il revient sur l'histoire familiale et la figure de son oncle Désiré, mort prématurément du sida et dont le destin tragique a longtemps été occulté. Une véritable révélation littéraire.
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© Collectif Risette/Paul Bourdrel/Fête du Livre de Bron 2023
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