C'est certainement le tome que j'ai le moins apprécié jusqu'ici. Et pourtant, il nous livre des informations essentielles sur les mystères qui sont attachés à la série.
C'est la faute d'un scénario trop confus dont les enchaînements ne sont absolument pas convaincants avec des dialogues que nous auront du mal à déchiffrer. L'intrigue est beaucoup trop confuse même pour ceux qui maîtrisent cet univers foisonnant.
Il faudra véritablement s'accrocher pour suivre. Un peu plus de clarté et de lisibilité aurait fait du bien car le plaisir de lecteur est un peu gâché.
Par contre, rien à redire sur le dessin et sur la colorisation qui sont au niveau attendu. Mais bon, cela ne sauve pas le reste.
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Les chevaliers-sorciers ont un plan pour rétablir l'équilibre : former une armée de clones mi chevalier mi dakoid. Kubilaï, notre chevalier-sorcier de la série mère y a un rôle principal.
C'est un tome des kookaburra universe qui semble essentiel pour saisir les motivations et les raisons des actions du chevaliers sorciers. Hélas j'avoue, j'en ai pas compris la moitié. Ca m'a semblé brouillon, j'ai eu du mal à situer l'action dans le temps. Et je n'ai pas réussi à saisir les intérêts des chevaliers-sorciers. Bref j'ai été perdu pendant la quasi totalité du tome...
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"Kookaburra Universe" est une série parallèle réalisée par des auteurs différents et qui a pour but de développer les personnages principaux de l’univers extrêmement riche forgé par Crisse autour d’une sombre prophétie galactique et d’enfants porteurs d’un pouvoir qui les dépasse. Ce quatorzième tome se situe juste avant le premier tome de la série mère (Planète Dakoï) et dévoile notamment les origines des Tsumbaï Sand, les mystérieux chevaliers sorciers.
Je dis notamment, car le scénario proposé par Philippe Murat et Laurent Peno-Mazzarino est particulièrement riche en révélations. Ce retour dans le passé de Kookaburra aborde ainsi les origines des chevaliers sorciers, des amazones, des guerriers Dakoïds, de la mystérieuse perle d'or et des dagues sacrées ... rien que ça !
Au niveau des réponses apportées sur l’univers de Kookaburra, cet album ravira donc les aficionados de la série et peut être considéré comme un album clé. Le tout est malheureusement livré de manière trop confuse et le lecteur lambda n’ayant pas révisé à fond les autres albums de cette série ressortira probablement bredouille de cette lecture, ce qui est tout de même assez dommage pour un album spin-off. Où est le temps ou chaque album se "contentait" de développer le passé d’un seul personnage ?
Graphiquement, le dessin de Sylvain Guinebeau est de bonne facture et respectueux de l’univers Kookaburra. La colorisation de Sébastien Lamirand permet de conserver l’unité graphique de cette saga.
Un tome (trop) riche en révélations !
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