[…] ; les réformateurs N’ONT JAMAIS CRU à la plus grande efficacité pédagogique de leurs propres méthodes actives ; ils n’ont pas cherché, par elles, à MIEUX atteindre les MEMES buts que les méthodes classiques – l’acquisition de solides apprentissages de base dans le primaire, puis des éléments des sciences dans le secondaire -, ils ont imposé les méthodes actives pour atteindre un AUTRE but, à savoir rendre possible l’école « hétérogène » et égalitaire.
(Ch. LA DESTRUCTION DE L’ECOLE PUBLIQUE EN FRANCE, p. 235).