J'ai encore le souvenir des quelques fois où il m'a collé contre le mur à la sortie d'une séance de conseil municipal au cours de laquelle je l'avais fortement titillé. Les habitants nous appelaient "Don Camillo" (pour moi) et "Peppone" (pour Henri Marcille, maire de Bondoufle). C'était un homme politique qui, contrairement et inversement à ceux d'aujourd'hui, n'avait pas beaucoup de diplômes mais beaucoup de bon sens.