A ma connaissance, il ne fit rien d'extraordinaire, à part travailler cinq jours par semaine et rester marié à ma grand-mère, Madeline, malgré d'innombrables hivers d'un froid glacial et une pauvreté chronique. Il n'accumula ni argent ni bien significatifs. A sa mort, il ne possédait rien qui ait de valeur réelle, excepté une ferme médiocre qui penchait sous le vent et un bout de terrain stérile acheté aux enchères cinq dollars l'acre.