Hier encore, à Paris, ne voyions-nous pas nos petites sottes du grand monde se pâmer sous le regard de Fayçal. Je dois dire que ce sont surtout les Anglaises qui, le long des âges, nous ont donné le spectacle de ces singulières ardeurs. Chose digne de remarque, leur déchaînement a toujours cadré à merveille avec les froides visées de la politique britannique, dont le but n’a jamais cessé de tendre à l’utilisation des Arabes pour nous créer toutes les difficultés possibles