Cet espace qu’il (Werner Ferhenbach) fantasme, il le nommera, dans un nouvel article qui paraîtra en janvier 1978, le cyberespace. Un monde sans haut ni bas, sans frontières, sans matérialité physique apparente, même si totalement lié au monde réel, sans domination sociale, politique, économique, de genre, avec, à l’intérieur, accessible à tous, la totalité de la connaissance humaine.