Il se lève. Il se sent plus libre que jamais. Toute la journée il s’emplit des sons de New York. Tout résonne à ses oreilles, du klaxon au rouleau de paroles du vendeur de journaux, toutes les musiques et toutes les langues, l’hindi fait tournoyer les vocales dans ses oreilles, l’espagnol colore l’air, l’anglais rue, le russe fend, l’italien l’entraîne dans sa danse, ses écoutilles sont grandes ouvertes et tout y entre.