Fin 1979, le journaliste d'Antenne 2 Claude Sérillon est ainsi remercié par Jean-Pierre Elkabbach pour avoir osé évoquer dans une revue de presse l'affaire des diamants de Bokassa, qui embarrasse le chef de l'État. Le présentateur-vedette du 20 heures de TF1, Roger Gicquel, est lui aussi provisoirement écarté pour avoir pris l'initiative d'aborder le sujet contre l'avis de sa hiérarchie.
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