La situation économique des catholiques colonisés était variable selon les régions, les types et les secteurs d'activité. Attachés, dans leur écrasante majorité, à cette terre dont on les avait expropriés mais qu'ils continuaient à arroser de leur sueurpour le compte des colonisateurs élisabéthains, cromwellies ou williamites, ils constituaient l'essentiel de la classe paysanne.
( "Des origines à l'Acte d'Union", p159)