Les danseuses ne dansèrent guère (elles devaient s’y attendre) et se mélangèrent bien vite à tout ce brassage de culs, de cuisses, de seins, de ventres, de poitrails, de membres héroïques, de toutes sortes de chairs. On bâfra, on s’embarbouilla de graisse comme de sperme, ça giclait et ça glissait, ça dérapait même. C’était dantesque et satanique à souhait.