Encore ravi par son duel, Osiander manifestait une gaieté qui inquiétait Reinecker. Elle semblait feinte, anormale, presque malsaine. C'était la gaieté d'un fou capable d'égorger un homme à pleines dents, de lui rompre la nuque par caprice, de lui crever les yeux sous les pouces.
("Les Masques de Wielstadt")