Le Ghelt pesait de tout son poids sur son arme qu’il tenait à deux mains. Lorn ne pouvait la repousser ni la dévier. Pire, il se sentit faiblir. Lentement, inexorablement, la lame avançait. Lorn grimaçait, suait à grosses gouttes, résistait de toutes ses forces. Sa transpiration l’aveuglait, mais pas assez pour qu’il ne voie pas la pointe d’acier qui tremblait, dirigée vers son œil pâle.
Lorn se griffa la paupière en clignant…