Nous avons cessé l’organisation d’exécutions publiques. Depuis 1997, les exécutions sont effectuées, comme dans plusieurs États américains, par injection létale de manière à éviter des souffrances inutiles aux prisonniers. Il s’agit de répondre à une décision de justice et non de commettre un acte de barbarie, se crut-il obligé de préciser avec une suavité toute diplomatique, au moment où les rideaux se rouvrirent, découvrant une pièce qui ressemblait vaguement à un cabinet de dentiste…