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Citations de Pierre Pouchairet (208)


La mort a au moins l'avantage de nous rendre bien meilleurs que ce que nous sommes.
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Inutile de dire que l'heure était grave. Les gueules étaient si tendues qu'on aurait pu croire que Jean-Luc Mélenchon venait de remporter la présidentielle.
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Une des bases de son métier de psychologue : ne jamais laisser l'impression d'être surprise.
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Un banc, un pack de Bavaria 8.6 et la journée peut commencer.
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- Enculés! C'est bien comme ça que vous dites en français?
Bien qu'il trouvât mal venu le moment de donner des cours de langue, Loubriac se força à répondre au sourire.
- Ton français est excellent et tu possèdes les meilleurs mots pour désigner ce genre de personnage.
- Je regarde beaucoup de films français, Alain Delon, Jean-Paul Belmondo...
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Il faut savoir mentir. Ici, on se met dans la peau des tueurs, des violeurs, de toutes sortes de fripouilles pour arriver à faire parler les clients. C'est un confessionnal.
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- Dis-moi, tu devrais jeter un œil sur ton passeport, tu crois que t'as quinze ans pour te fringuer comme ça ? C'est quoi ce pantalon militaire et ce sweat à capuche... Te manque plus que la casquette ! T'es devenu chanteur dans un groupe de rap ?
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Que ça fonctionne ou non, eux aussi allaient devenir des boulets dont il faudrait se débarrasser. Encore des cadavres. On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Cette formule à la gomme, Nino la lui rabâchait régulièrement, sans se douter pour autant qu'il citait du Balzac.
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Elle raccrocha avec un sentiment de vide. Le boulot de flic n'était pas fait pour les couples.
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- C'est quoi cette cité ? demanda le commandant.
Les " baqueux" se mirent à rire.
- Un supermarché, crack, coke, héroine, shit, kalachnikovs... vous y trouvez tout ce que vous voulez comme fournitures de première nécessité.
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Trop de personnages, trop de lieux, trop d’infos sur le métier de flic (l’auteur en est un ancien). Trop embrouillé. Un peu d’humour. Manque de précision (on ne sait pas pourquoi les enfants tués sont hospitalisés). Alibis non convaincants. Manque de suspens. Ce qui est dommage pour un polar !
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Le pays était la base naturelle des Sud-Américains, leur premier pied-à-terre vers l'Europe. Même si les narcos savaient s'adapter et trouver de nouvelles routes de transit, ils privilégiaient traditionnellement l'univers linguistique espagnol.
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Le ciel a été hésitant. Il n'est tombé que quelques gouttes, histoire de rappeler qu'on est en Bretagne, (...).
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C'était bien la première fois qu'il mêlait le cul et les affaires. Il n'était cependant pas question de la jeter. Ils étaient mariés et elle était sa seule visite autorisée par l'administration. Quel prisonnier sensé renoncerait à la possibilité de se faire sucer une fois toutes les deux semaines, voire mieux ?
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Brest
( Miossec )


Est-ce que désormais tu me détestes
D'avoir pu un jour quitter Brest ?
La rade, le port, ce qu'il en reste
Le vent dans la rue Jean Jaurès
Je sais bien qu'on y était presque
On avait fini notre jeunesse
On aurait pu en dévorer les restes
Même au beau milieu d'une averse
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Mais nom de Dieu, que la pluie cesse
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Même la terre part à la renverse
La Recouvrance que l'on délaisse
La rue de Siam, ses nuits d'ivresse
Ce n'est pas par manque de politesse
Juste l'usure des nuages et de tes caresses
Ceci n'est pas un manifeste
Pas même un sermon, encore moins une messe
Mais il fallait bien qu'un jour je disparaisse
Doit-on toujours protéger l'espèce ?
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Mais nom...
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Il décida ce que la sagesse lui dictait, sachant qu'on sortait plus facilement d'une prison que d'un cercueil.
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Ce n’est pas tant que la police ne dispose pas de véhicules corrects. Il y en a, mais ils sont utilisés par les plus hauts gradés, quand ce n’est pas par leurs épouses, ou leurs chauffeurs, pour conduire les enfants à l’école. C’est un moindre mal, puisque les voitures de l’administration ont également une particularité rare, qui relève de la magie africaine…celle de disparaître. Vendues, volées…affectées à des tâches imprévues, elles s’évanouissent définitivement sans que quiconque s’en inquiète et les enquêteurs se retrouvent dépourvus de tout moyen de transport.
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Ses amis l'attendent là-bas. Quel est le programme ? Boire des bières et puis boire des bières.
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Pour la majorité d’entre eux, dans cet univers morne et triste, la police était clairement l’ennemie. Avec le chômage, les jeunes désœuvrés plongeaient dans la drogue, les plus malins comme dealers. Ici, la réussite sociale passait par s’imposer dans la bande, et régner par la violence...
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J’écoutai, interloqué par tant de conneries. Un français venait de mourir, la presque totalité des fonctionnaires ou membres de cette ambassade vivait dans Kaboul sans aucune sécurité, tous courant le risque d’être tués ou enlevés, et notre ambassadeur n’avait qu’une seule et unique préoccupation : préserver son jardin !
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