Une préface c'est comme un paillasson où l'on doit essuyer ses pieds avant d'entrer. Je ne m'adresse pas au lecteur qui, étant fort rare, a droit à tous les égards, mais au poète quand il appuie imprudemment le pied sur le premier barreau de cette échelle qui, dressée vers le ciel, ne mène nulle part.
(p. 179)