Dans le Sud-Ouest, les chasseurs élèvent en toute légalité des alouettes des champs. Le principe est le même que pour les vanneaux, avec un degré de plus dans les sévices. Attachées par une ficelle juste assez longue pour qu’elles puissent prendre leur envol, les alouettes se débattent et retombent. Caché en coulisse à distance, le chasseur amplifie le mauvais traitement en activant un mécanisme qui secoue l’oiseau. Le but de tout ce processus est que l’alouette s’agite pour être vue de loin par les oiseaux passant en vol.