Ève admire sa petite fille et l’arbre. Elle essaie de le libérer, cet arbre, de le décrire, de le traduire en œuvre d’art. Il est si haut, si vieux, rempli d’une sagesse muette qui oblige à être représentée. Elle tente de la traduire. Elle aimerait réussir une œuvre d’art qui parle et qui raconte.