Guido d'Arezzo avait donc inventé une sorte de langage mystérieux que seuls les musiciens pouvaient déchiffrer. Il avait inventé une sorte de code secret.
A une mélodie correspondait la courbe de la danse des notes sur leurs lignes parallèles, qui, regroupées avaient pris le nom de portée. Sur ces lignes tracées au cordeau, les notes légères flottaient, chantaient.