«le grand drame de la démocratie en Algérie c'est qu'en vérité, le processus ne s'est pas appuyé, au départ, sur une doctrine ou une «œuvre politique» que seule une intelligentsia pouvait produire
soit à lUniversité, soit dans les arts et les lettres. Sa courte «histoire» n'a trouvé personne pour la porter et, au contraire, c'est elle qui a porté les intellectuels
» A qui la faute ?