Crevel, faisant le point en 1931, écrit dans le numéro 3 du Surréalisme au service de la révolution :
« Le surréalisme : pas une école, un mouvement, donc ne parle pas ex cathedra mais va y voir, va à la connaissance, à la connaissance appliquée à la Révolution (par un chemin poétique). Lautréamont avait dit : la poésie doit être faite par tous, non par un. Éluard a commenté ainsi cette phrase : la poésie purifiera tous les hommes. Toutes les tours d’ivoire seront démolies. »