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Citations de Raphaëlle Keya (18)


Ils échangèrent un regard empreint de cette tendresse qu'ils ressentaient maintenant l'un envers l'autre après avoir partagé tant de difficultés et de peurs.
- Fais bien attention à toi. Je te confie mes amis et tu sais qu'ils sont ma famille.
(Chapitre 15)
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- Personne ne peut vous venir en aide ? Un très vieil ami ou une connaissance de votre mère ?
- Non. Toutes les personnes qui auraient pu m'aider ne sont pas, ou plus, en mesure de le faire. Je ne sais pas vers qui me tourner sans lui causer autant de problèmes que je ne vous en fais.
(Chapitre 7)
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La mort de José Montoya était difficilement acceptée par ses collègues et amis qui l'appréciaient beaucoup. Non seulement pour son professionnalisme, sa rigueur et un parcours sans tache d'une carrière exemplaire, mais aussi pour son humour et sa gentillesse que tous regrettaient déjà.
(Chapitre 3)
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Comme seuls les dirigeants et les officiers chargés de l’enquête connaissaient la dernière affaire des disparus, les scénarios et spéculations allaient bon train et l'imagination de chacun dans tous les sens. Cela devait être sur « des gros poissons », des trafics très rentables : drogue, prostitution, blanchiment d’argent. Un important réseau à faire sauter, des personnalités impliquées… Une chose était certaine, les responsables n’avaient pas hésité à s’en prendre à des officiers de police assermentés et à échafauder une terrible machination. L’enquête ne venait que de commencer mais elle faisait déjà beaucoup parler d’elle !
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Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu’au jour où être fort reste la seule option
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Ne laissez pas la tristesse de votre passé et la crainte de l’avenir, ruiner le bonheur de votre présent.
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Ce samedi débuta en fanfare. Josef s'était levé plus tôt pour préparer le petit-déjeuner à sa gentille logeuse mais Junior vint lui faire la fête et fit capoter sa venue qu'il aurait voulue discrète.
(Chapitre 9)
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Pendant que son pensionnaire dormait, elle en profita pour se rendre à la salle de bains. Et avant de lui porter un petit-déjeuner, elle prit le sien en écoutant les informations.
- Moi, j'aurais un scoop pour vous, dit-elle.
(chapitre 5)
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Pendant la pause du midi, la cantine était envahie par des conversations similaires à presque toutes les tables et chacun y allait de son explication, de ce qu’il avait entendu, de ce qu’il savait sur les deux enquêteurs… Les spéculations allaient bon train, en interne mais aussi au dehors.
L’affaire de l’assassinat du policier et la disparition de son collègue faisaient les gros titres ; un flot de journalistes s’agglutinait devant le bâtiment de police ainsi qu’aux abords des lieux du crime dont le périmètre de sécurité avait été renforcé. Tout le monde voulait savoir et la division « communications » était sur des braises ardentes à devoir répondre aux nombreuses sollicitations.
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Dans la salle de bains, pendant qu’elle se préparait pour la nuit, Natalie souriait en se regardant dans le miroir : elle avait vraiment apprécié ces heures avec la famille Blackwood. Ils étaient tous très intéressants à connaître, et les enfants : de sacrés espiègles qui les avaient bien souvent fait rire.
Elle se dit que ceux de Joseph ne ressemblaient pas à leur père, et c’en était rassurant ! Lui était distant, froid, presque antipathique à son égard et elle s’était souvent demandé ce qu’il pouvait bien penser quand il la regardait fixement comme ça. Bien sûr elle savait aussi qu’il devait repenser à sa sœur… mais ce n’était pas une raison d’être aussi déplaisant. Elle avait compris qu’il ne la laisserait pas devenir son amie et qu’il garderait ses distances. Ce n’était et ça ne resterait qu’une étrangère !
− Ben tant mieux car moi aussi je n’ai pas envie de mieux vous connaître M. Joseph Blackwood ! fit-elle avant d’aller se coucher.
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Quel acteur a ce genre de cicatrice ? pensa-t-elle intriguée. Ça va, elle n’est pas trop moche. En fait, il aurait une assez belle gueule ce mec s’il enlevait son balai du…
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Raphaëlle Keya
Extrait :

La tête en mode « pilotage automatique », il n’avait plus vraiment conscience de ce qu’il faisait. Tout ce qu’il voyait, c’était ces flics qui le menaçaient et lui intimaient l'ordre de jeter son arme et de se coucher, les mains et jambes écartées. Mais il n’avait aucune intention de se laisser arrêter, pensa retourner à la voiture pour faire sortir son otage mais après un rapide regard, il constata qu’elle n’avait pas bougé d’un centimètre. Elle devait être morte et ne lui servira plus à rien.
— Putain, fais chier ! hurla-t-il.
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Extrait :

Alors qu’il regardait les policiers et les vigiles courir dans sa direction, l’agresseur entendit son otage pousser un cri de stupeur et s’aperçut au dernier moment qu’il avait dévié de sa route et fonçait droit vers des véhicules en stationnement. D’un geste brusque, il braqua le volant pour tenter de les éviter mais trop tard, il percuta un monospace bleu marine. Sous le choc et la vitesse, les airbags se déclenchèrent. Il fut sonné pendant un bref instant puis se tourna vers la femme âgée qui avait perdu connaissance. Les jambes un peu tremblantes, il sortit du véhicule mais faillit trébucher et jura encore.
— Police, les mains en l’air ! Rendez-vous, vous n’avez aucune chance de vous en sortir !
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Aux environs de 19 h 30, Émilie se trouvait dans sa chambre pour se reposer et attendre le moment du repas, lorsqu’un léger coup retentit à la porte. Pensant que c’était Amalia, la mère de David, elle lui dit d’entrer. Mais c’était lui :
– Bonsoir. Je viens pour que tu m’apprennes ta décision !
Elle avala sa salive, troublée encore par la façon qu’il avait de lui parler, avec ce ton si détaché, comme si elle devait choisir entre une sauce au poivre ou une sauce béarnaise…
– Je… Je ne veux pas mourir…
– Ce n’est pas ce que je t’ai demandé. Tu dois me dire exactement ce que tu veux et ne pas osciller entre les deux. C’est ta décision, pas la mienne !
– Je veux vivre. Avec votre mère et… et vous.
– Tu es bien certaine ! ? Tu devras accepter tout ce que je t’ai dit ce midi !
Elle hocha la tête en disant qu’elle le savait.
Il répondit un simple : « OK… On en reparlera », avant de repartir et de la laisser immobile et déconcertée face à la porte qu’il avait refermée.
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− Je sais et j'étais très embarrassée de l'accepter. Mais je ne savais pas quoi dire à Victoria pour la refuser encore. C’est déjà un si grand honneur qu’elle veuille me la donner. Je suis qu’une étrangère pour vous et…
− Exact ! la coupa-t-il brusquement. Tu es une étrangère qui n’a rien à voir avec la famille. À part ta ressemblance avec ma sœur quand elle était plus jeune ! C’est ce que je lui ai dit pour qu'elle change d'avis.
« Dans quelque temps tu ne donneras plus de tes nouvelles et te détourneras d’elle, c’est une évidence. Je ne vois pas pourquoi une jeune femme comme toi s’intéresse tant à une dame comme ma mère, sauf pour espérer en tirer un certain profit ! Mais elle ne voit que “du bien” en toi et je n'arrive pas malheureusement à lui faire entendre raison. »
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L’amour est un hasard qui s’aventure sur le chemin du destin.
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Dans la salle, qui devait sans doute être une d’interrogatoire, il leur proposa des rafraîchissements et s’excusa un instant. Il ne serait pas long et son collègue ne devrait plus tarder. Après son départ, Laureen dit à ses parents qu’il était « vraiment gentil » et ces derniers confirmèrent. Julia s’en amusa et en regardant tout autour d’elle, annonça :
— Je suis certaine que l’on doit nous surveiller derrière cette vitre sans tain, c’est comme dans les films ! Et puis il y a cette petite caméra dans le coin… Bon papa, maintenant tu vas passer aux aveux ! Admets devant tout le monde que tu as donné du sucre à Ed ce matin ! Et combien de morceaux !
Elle s’était levée et faisait semblant d’être menaçante comme les policiers dans l’une de ces séries pendant qu’ils questionnent un suspect.
— Pff… Tu es complètement folle ma fille ! répondit-il en riant.
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On ne fait pas ce que l'on veut et cependant on est responsable de ce qu'on est.
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