Je pense que c’est peut-être une bonne chose de laisser le monstre de la télévision aller en avant, informer le grand public, tout le monde, par satellite, et que la photographie reprenne sa véritable place, une place qui est peut-être de second plan, mais qui est plus à même de prendre son vrai rôle. C’est-à-dire d’obliger les gens à regarder, que les gens se penchent un peu plus sur l’image, qu’ils prennent un peu plus de temps, qu’ils s’arrêtent.