Bonjour,
Les petites vies sont des ouvrages courts et bon marché destinés à faire connaître ceux, petits ou grands, qui ont marqué la vie de l'Eglise. Tous les personnages qui comptent dans son histoire sont traités.
Ici, c'est l'essentiel de la vie de Marthe ROBIN. Je l'ai lu en l'empruntant à la bibliothèque diocésaine. Je voulais en savoir plus sur cette femme qui vivait, vivait, vivait, sans jamais MANGER, sauf le corps du Christ.
Comment cette femme vit avec un corps qui s'amenuise, devant rester quasiment toute sa vie dans sa chambre, ajoutant à ses handicaps physiques une expérience spirituelle très douloureuse : revivre le supplice de la passion et ses douleurs. La connaissance intime du Christ passe par la connaissance intime des souffrances qu'il a vécues.
Elle ne peut pas sortir ? Ce sont les hommes et les femmes qui viennent à elle, et qui vont avec elle créer une association de vie communautaire de type familial.
Visionnaire, voyageant dans l'espace à la manière des Anges, elle sait ce que devient le monde et elle ne se gêne pas pour dire ce qu'elle en pense et ce qu'il va devenir.
Décédée en 1981 Marthe ROBIN est notre contemporaine, elle n'est pas d'une époque révolue. C'est une bonne introduction, on peut aussi se renseigner sur internet.
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Jean Guitton un académicien à rendu viste à Marthe Robin, il a écrit un livre : "Portrait de Marthe Robin".
J'ai enfin lu une des biographies de Marthe Robin, cette femme qui reste une énigme pour la science.
Pendant 51ans elle ne mange, plus hormis la communion aux hosties consacrées.
De sa chambre elle réussira à fonder les Foyers de Charité, elle rencontrera en 5 ans plus de cent mille personnes dans sa chambre de Chateauneuf de Gallaure.
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Qui était vraiment Marthe Robin ? Pierre Vignon, prêtre du diocèse de Valence, a bien connu la principale intéressée (morte en 1981) et revient sur son parcours hors du commun. Enfant souffrante, elle a bien vite trouvé refuge dans la religion et la piété, ouverte aux autres et toujours d’une sérénité admirable. Après un coma profond de plusieurs jours (sans doute dû à une tumeur cérébrale ?), elle vit cloîtrée dans la ferme familiale, ne supporte plus la lumière et éprouve de grosses difficultés à se mouvoir. L’épreuve de la maladie renforce sa foi. Quelques mois plus tard, elle est témoin d’apparitions mariales, toujours en privé. Des phénomènes qu’elle préfère ne pas ébruiter mais qui, rapidement, deviennent l’objet de rumeurs. Une certaine défiance circule également, l’accusant de mensonge et l’incriminant de plagiat. Pour beaucoup de chrétiens catholiques, elle demeure un symbole de piété. Donc, un exemple à suivre !
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