« Tout ce que je vis à Trèze me semble réel. Beaucoup plus réel que le réel, même. Beaucoup plus intense, beaucoup plus puissant, beaucoup plus beau. Le visage d’Éden à cet instant, ses pommettes hautes, le modelé parfait de ses lèvres, le brun chaud de ses yeux, je n’ai jamais rien vu de plus beau ni de plus… vivant. »