et cette réalité fort dérangeante : ces aides soignants confrontés aux pulsions de leur malades, ces éducateurs qui racontent qu'ils sont " bien obligés d'emmener leurs pensionnaires aux putes" ou bien cette femme de 60 ans demandant que quelque chose soit mis en place pour qu'elle n'ait plus, tous les matins à masturber son fils handicapé mental, sous la douche.