Julien Gracq aussi fut un adepte de la marche comme adjuvant à un traitement mécanique de la phrase, (...) la phrase (...) à la fin de la promenade-tournée et retournée le long du chemin- s'est débarassée souvent de son poids mort. En la comparant au retour avec celle que j'ai laissée écrite, je m'aperçois quelquefois qu'il s'est produit des élisions heureuses, un tassement, une sorte de nettoyage" (p.71)