Soixante pour cent des médecins parisiens ne gagnaient pas de quoi vivre décemment, certains n’atteignaient pas le seuil de survie des trois mille francs. Même les charges officielles étaient misérables. La plupart des médecins gagnaient moins que la plupart des ouvriers, qu’il s’agisse de colleurs de papier, de charpentiers, de marbriers, de peintres en bâtiment ou de charretiers.